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Trompe tibétaine en laiton à tête de dragon 53 cm

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Détails du produit

Trompe tibétaine artisanale en cuivre et laiton se terminant par une tête de dragon particulièrement bien réussie. Beau travail de ciselure en relief. La trompe fait partie des objets rituels tibétains. Le son est typique de la musique des cérémonies religieuses tibétaines, auxquelles nous avons eu la grande chance de participer lors de nos voyages. C'est un son prenant, bouleversant et inimitable Longueur 53 cm.

Le dragon, créature légendaire, fascine depuis des siècles. Doté d'écailles impénétrables et d'une puissance extraordinaire, il incarne la force et la volonté. Dans de nombreuses cultures, il est vénéré comme un symbole de pouvoir et de sagesse. Sa respiration de feu dégageant une chaleur redoutable est à la fois terrifiante et impressionnante. Les histoires de courageux chevaliers combattant des dragons monstrueux ont nourri l'imaginaire collectif. Pourtant, au-delà de cette image redoutable, le dragon peut également représenter la sagesse et la protection. Il est souvent associé à la connaissance et à la maîtrise des éléments. Aujourd'hui, il continue d'inspirer les auteurs, artistes et cinéastes du monde entier. Le dragon, symbole éternel de puissance et de mystère, continue de fasciner et de captiver l'imaginaire de chacun.

La trompe tibétaine est un instrument à vent, utilisée dans les cérémonies bouddhistes tibétaines, la trompe tibétaine ne passe pas inaperçue. Cette longue trompe en bronze chinoise, rencontrée essentiellement dans la musique tibétaine et mongole peut atteindre 3 mètres de long et doit être posée au sol pour pouvoir être jouée. Elle peut se jouer en ensemble de plusieurs trompes de tailles différentes, ou accompagnée par des tambours et on la reconnaît à ses sonorités graves qui s’apparentent à un bourdonnement. Elle aurait été mentionnée pour la première fois par le roi du Ngari au Tibet, en 1042 : le savant indien Atisha jouait de cet instrument, ce qui vaut à cette trompe le surnom poétique de « trompe pour accueillir le savant traducteur ». jouée. Elle peut se jouer en ensemble de plusieurs trompes de tailles différentes, ou accompagnée par des tambours et on la reconnaît par ses sonorités graves qui s’apparentent à un bourdonnement. Elle aurait été mentionnée pour la première fois par le roi du Ngari au Tibet, en 1042 : le savant indien Atisha jouait de cet instrument, ce qui vaut à cette trompe le surnom poétique de « trompe pour accueillir le savant traducteur ».

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Trompe tibétaine en laiton à tête de dragon 53 cm
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