Mala en œil de tigre. L'œil de tigre apporte calme et équilibre, votre mala vous protègera des attaques extérieures et vous portera chance. Le mala est le chapelet des Bouddhistes, les fidèles le portent en bracelet ou en collier et l'égrènent en récitant leurs mantras. Le mot mala signifie collier de fleurs ou guirlande de perles. L 80 cm.
L'œil de tigre est une pierre semi-précieuse fascinante et puissante. Connue pour ses nuances de brun doré et ses reflets chatoyants, elle est souvent associée à la protection, la confiance en soi et la motivation. Porter un bijou ou une pièce en œil de tigre peut aider à repousser les énergies négatives tout en renforçant votre connexion avec votre moi intérieur. Cette pierre est réputée pour dissiper les peurs, calmer l'anxiété et promouvoir la clarté mentale. L'œil de tigre est également considéré comme une pierre chanceuse qui favorise la réussite et la prospérité. Il est souvent utilisé en méditation pour renforcer la volonté et la détermination. Que ce soit sous forme de collier, de bracelet ou de pierre brute, l'œil de tigre est un choix populaire pour ceux qui cherchent à équilibrer leur énergie et à trouver une force intérieure.
C'est le chapelet du bouddhiste, l'objet dont le moine (voire le pratiquant laïc) ne se sépare presque jamais, le tenant à la main ou enroulé autour du poignet. Le mala est tout d'abord un objet utilitaire : il sert à la récitation des mantras, en même temps qu'il est utilisé pour les compter si l'on s'est fixé d'en répéter un nombre défini. L'égrener devient, chez certains fidèles, un quasi automatisme qui se met en œuvre dès que les mains sont libres. Le mala est composé de 108 perles enfilées, ce qui justifie son nom, puisqu'il signifie simplement "guirlande" (de perles). Les différents composants recèlent chacun une signification symbolique précise. On tient toujours le mala de la main gauche, faisant glisser les perles sur l’index à l'aide du pouce. On l'égrène en tirant les perles vers soi, ce qui symbolise que l'on tire les êtres hors de la souffrance. Chaque tour se termine à la grosse perle et, sans la franchir, on retourne le mala pour repartir dans l'autre sens. Bien que le mala compte 108 perles, chaque tour est compté pour 100, les huit autres étant "offertes" pour les éventuelles erreurs commises lors de la récitation.
