Bracelet Mala en graines issues de de l'arbre de rudraksha. Le mala est ' le chapelet' des bouddhistes. Ils s'en servent pour réciter leurs prières, et les portent en collier ou en bracelet. C'est leur façon de prier et remercier le Bouddha pour ses bienfaits. Le bracelet est également un objet sacré dans le culte tibétain. Le mot mala signifie collier de fleurs ou guirlande de perles. Monté sur élastique - diamètre 8 cm
Les graines de rudraksha sont des perles sacrées et mystiques provenant de l'arbre de rudraksha en Asie du Sud-Est. Ces graines sont considérées comme des symboles de divinité et de protection dans de nombreuses traditions spirituelles, notamment l'hindouisme et le bouddhisme.
La rudraksha tire son nom du mot sanskrit "Rudra", qui signifie "Shiva", le dieu hindou de la destruction et de la transformation. On dit que le dieu Shiva portait lui-même un chapelet de graines de rudraksha autour de son cou, conférant ainsi à ces graines un statut sacré.
Les graines de rudraksha sont connues pour leurs propriétés de guérison et de protection. Elles sont considérées comme des amplificateurs d'énergie spirituelle et sont souvent utilisées pour aider à la méditation et à la concentration. On pense également que les graines de rudraksha ont des effets positifs sur la santé physique et mentale, réduisant le stress et l'anxiété.
Le pouvoir des graines de rudraksha réside dans leurs faces ou "mukhis". Les mu khis font référence aux rainures ou aux lignes présentes sur chaque graine de rudraksha. On dit que chaque type de mukhi a ses propres propriétés et influences spirituelles spécifiques. Par exemple, la graine de rudraksha à une face est associée à la force, à la volonté et à l'énergie, tandis que la graine de rudraksha à cinq faces est considérée comme un symbole de paix et de bonheur.
Les graines de rudraksha sont souvent portées comme des colliers ou des bracelets, en contact direct avec la peau. On dit que le port de ces graines crée un champ d'énergie protecteur autour de la personne et favorise la connexion avec soi-même et avec les énergies universelles.
C'est le chapelet du bouddhiste, l'objet dont le moine (voire le pratiquant laïc) ne se sépare presque jamais, le tenant à la main ou enroulé autour du poignet. Le mala est tout d'abord un objet utilitaire : il sert à la récitation des mantras, en même temps qu'il est utilisé pour les compter si l'on s'est fixé d'en répéter un nombre défini. L'égrener devient, chez certains fidèles, un quasi automatisme qui se met en œuvre dès que les mains sont libres. Le mala est composé de 108 perles enfilées, ce qui justifie son nom, puisqu'il signifie simplement "guirlande" (de perles). Les différents composants recèlent chacun une signification symbolique précise.
On tient toujours le mala de la main gauche, faisant glisser les perles sur l’index à l'aide du pouce. On l'égrène en tirant les perles vers soi, ce qui symbolise que l'on tire les êtres hors de la souffrance. Chaque tour se termine à la grosse perle et, sans la franchir, on retourne le mala pour repartir dans l'autre sens. Bien que le mala compte 108 perles, chaque tour est compté pour 100, les huit autres étant "offertes" pour les éventuelles erreurs commises lors de la récitation.
